Signe chinois de la chèvre
Tourmentée avec un caractère doux, la chèvre a un besoin de se sentir aimée et soutenue. Le signe chinois de la chèvre hésite toujours à chaque pas de sa vie. Pourtant la chèvre peut faire preuve d’une grande force intérieure. Elle aime tout ce qui est beau et se fie beaucoup aux apparences. Extrêmement sensible et facilement angoissée, elle est facilement triste et déçue par son prochain. Son humeur est changeante et elle a des difficultés à se montrer objective.
Le caractère de la chèvre
Le signe chinois de la chèvre évolue volontiers dans une certaine imprécision, voire même un certain illogisme. Il fonctionne surtout à l’intuition, volontiers porté par son inconscient.
Il est sensible à toutes choses, même à ce que personne d’autre ne perçoit : les autres, la chaleur humaine, la qualité d’une ambiance, etc. En fait, il ressent plus que l’on se l’imagine : l’intuition le guide à travers la vie. Artiste et raffiné, il aime les choses délicates et manque totalement de sens pratique.
Il arrive très difficilement à convaincre par des arguments, mais très facilement par le cœur et les sens. Il est, en effet, prêt à beaucoup de concessions pour obtenir l’attention, la protection, les caresses et la complicité du cœur, qui ont tant de prix pour lui.
Il est plutôt timide, et sa timidité lui joue souvent bien de mauvais tours : il lui faudra un événement exceptionnel pour le décider à se battre, à défendre ses droits et à réclamer son dû. Mais son cœur tendre est un des précieux dons que la nature lui a accordé : il éprouve facilement de la sympathie et de la commisération pour les faibles, les infortunés, les délaissés, les opprimés, les malheureux.
Lorsque « le signe chinois de la chèvre » est confronté à des problèmes, il n’aime généralement pas les prendre à bras-le-corps pour les résoudre. Il préfère leur opposer une résistance faite d’esquives, de disparitions, de fuites dans un monde imaginaire où personne ne pourra le suivre.
En société, on trouve dans ce « signe chinois de la chèvre », un être au charme extrême, avec le mystère de l’insaisissable. Très crédule, avec des états d’âme changeants, voire fantasques, il se laisse prendre facilement aux apparences.
« Le signe chinois de la chèvre » attache une grande importance à son apparence, car il a besoin de plaire comme de respirer. Il aime aussi rendre service et faire plaisir à tous ceux qui l’entourent.
Les capacités professionnelles de la chèvre
La propension à la rêverie, propre au « signe chinois de la chèvre », peut déboucher sur un état permanent d’indolence. Il se contentera de se laisser porter par le courant au lieu de se battre pour obtenir ce qu’il veut. Ceci est particulièrement vrai dans le domaine professionnel. Si les circonstances ont été favorables, il peut bénéficier ainsi d’une certaine quiétude ; son existence matérielle se déroulant dans une sorte de demi-teinte qui le satisfait. Son ambition ne va ordinairement pas plus loin.
S’il a en lui assez d’éléments créateurs pour en tirer parti, il peut se révéler un artiste de valeur. C’est une personnalité portée à aller au secours des autres, faire partie de ceux dont on dit parfois qu’ils sont « inspirés ».
Malgré sa propension naturelle au fatalisme, « le signe chinois de la chèvre » est tout à fait capable d’un grand sursaut, dans des circonstances assez exceptionnelles et avec un acte de volition inhabituelle. Il peut alors figurer parmi les brasseurs d’affaires, les écrivains prolifiques, voire même les hommes d’État de grande envergure.
Il faut aussi prendre en compte ses tendances psychologiques. C’est ainsi que sont valorisées les professions exigeant dévouement, et même abnégation, et ayant pour but d’apporter aux autres un soulagement dans les épreuves. De là, le choix d’activités dans les services hospitaliers : infirmier, aide-soignant, anesthésiste, psychiatre, etc.
Le monde de l’illusion, celui du show-business par exemple, peut aussi le séduire. Il a la faculté de communiquer aux autres ses émotions, ce qui lui permet de devenir un artiste de valeur, un poète sensible, un musicien confirmé. Mais dans notre monde si âpre, il faut un thème très solide pour pouvoir conseiller cette voie.
La chèvre et l’argent
Gagner de l’argent n’est pas son obsession, mais « le signe chinois de la chèvre » aime l’argent pour le confort et le luxe, car il aime la vie et dépenser. Il se soucie fort peu de prévoir son futur, ni même de surveiller son compte en banque. De plus naïf (ve), il peut facilement se faire berner en affaires.
La chèvre et la santé
Malgré sa fragilité apparente, il possède une bonne résistance. Mais il faut qu’il se retrouve un jour confronté à de graves épreuves pour en prendre conscience. S’il lui arrive de glisser tout au fond du gouffre, il possède en lui également la capacité de remonter la pente, même si cela doit prendre du temps. Ainsi, au moment où ses proches le croient au plus mal, voilà qu’il renaît de ses cendres !
Il a tendance à retenir l’eau dans les tissus, à « fabriquer » de la cellulite, des œdèmes, des enflures, des lymphangites. Sa santé, dès sa jeunesse, peut donner des inquiétudes. Souvent patraque ou en manque de punch, il peut souffrir de maux dont les symptômes sont diffus, vagues, changeants. Pour le médecin, il est une énigme.
Son organisme accuse une nette faiblesse sur le plan immunitaire. Il est donc prédisposé aux maladies infectieuses. Il a une fâcheuse tendance à attraper tous les microbes et virus qui passent à sa portée. Il est extrêmement sensible au froid et à l’humidité.
En ce qui concerne l’alimentation, « le signe chinois de la chèvre » peut être soit très frugal, soit très gourmand. Sachez qu’il existe toujours en lui un facteur émotionnel lié aux aliments.
Le comportement amoureux de la chèvre
L’amour joue un rôle capital dans la vie du « signe chinois de la chèvre ». Il n’est toutefois pas toujours facile de l’aimer, car, à certains égards, il demeure toujours un peu mystérieux. Ce côté énigmatique de son signe fait tout à la fois son charme et sa peine, puisque celle-ci rend plus difficile l’imbrication profonde des êtres.
« La chèvre » a un grand besoin d’affection et d’amour, mais elle ne sait pas toujours distinguer le vrai du faux. On peut l’« avoir » au sentiment, car elle est assez faible et influençable. Comme elle plaît beaucoup à l’autre sexe, c’est souvent sans intention qu’elle devient l’objet de coups de foudre. Et les passions qu’elle aura suscitées chez les autres ne s’éteindront pas de leur vivant.
Très attirant, avec son regard étrange où palpitent les rêves, « le signe chinois de la chèvre » sait généralement apporter à la vie sentimentale une touche de poésie, de délicatesse qui enchante. Dans les premiers temps de ses amours, il excelle dans l’art de faire une cour délicate et discrète susceptible de toucher les cœurs qu’il convoite ; à condition d’avoir su maîtriser la grande timidité qui, souvent, le tenaille.
En effet, la crainte d’être repoussé ou de paraître ridicule fait fréquemment hésiter « le signe chinois de la chèvre » à déclarer ses sentiments, et il a besoin d’encouragements pour le faire. Malheureusement, il peut avoir des difficultés pour manifester son amour, ne sachant pas comment cette confidence sera accueillie, et se cantonne dans une passion secrète et stérile.
Dans tous les cas, il est un grand romantique, ses sentiments sont entiers et sa sensibilité profonde. Rien de tiède en lui : il vit ses expériences amoureuses dans l’intensité, le délire, le drame. En général, ses affaires de cœur sont instables ou embrouillées ; ou encore avec de brusques revirements. Il pourrait y avoir plusieurs unions ou mariages au cours de sa vie, chacun d’eux pouvant transformer le cours de son destin.
Il est reconnaissant envers le partenaire qui lui épargnera des prises de décision difficiles ou la charge du quotidien, qui, pour lui, agit comme un « tue l’amour ».
Le partenaire idéal de la chèvre
« La chèvre » adore la famille, très douce et protectrice. Ainsi, « le cochon » et « le lièvre » seront de bons partenaires qui iront dans le même sens qu’elle.
La chèvre ne cherche pas à dominer ou à occuper la première place ; ainsi, la relation avec le cheval sera également heureuse. « La chèvre » pourra offrir « au cheval » un foyer sécurisant et admirer un être qu’elle estime pour ce qu’elle n’a pas : son côté aventurier.
La chèvre d’eau
« La chèvre d’eau » agit et réagit toujours comme s’il était le centre de l’univers. C’est un modèle d’égocentrisme. Elle n’est pas orgueilleuse en voulant monopoliser les feux de la rampe comme c’est le cas du Dragon. Mais elle veut qu’on s’occupe d’elle, qu’on subvienne à ses besoins, qu’on tienne compte de ses sentiments et de ses désirs. C’est en quelque sorte une éternelle enfant gâtée qui a toujours besoin des soins et de l’attention de tout le monde. La plus grande tâche que le natif doit se donner dans sa vie est sans aucun doute de se défaire de son infantilisme et de devenir un adulte indépendant et responsable.
Voulant tout rapporter à lui-même, « la chèvre d’eau » se conduit envers les autres comme un suzerain envers ses vassaux : il attend tout des autres, mais ne se croit nullement obligé de donner quelque chose en retour. Que cela soit professionnellement ou amoureusement.
Comme bon nombre de ses congénères, « la chèvre d’eau » est velléitaire. Toujours hésitante, elle préfère laisser les autres prendre les décisions à sa place. Il lui plaît mieux d’obéir que de commander. On ne devrait pas lui confier des fonctions qui exigent de la volonté. Pour réussir dans la vie, elle a intérêt à faire un travail d’équipe qui lui impose des contraintes suffisantes : elle a besoin d’être encadrée pour être efficace. Elle doit aussi s’imposer une discipline de vie qui laisse moins de place à la rêverie et à la fantaisie.
« La chèvre d’eau » est plus pessimiste qu’optimiste, surtout lorsqu’elle a constaté que ses rêves ne cadraient pas avec la réalité. Elle peut connaître des jours moroses où il a la conviction que le bonheur n’est qu’une illusion. Il est indispensable qu’à ces moments difficiles elle sorte d’elle-même, de ses préoccupations égoïstes, et s’intéresse davantage à autrui.
La chèvre de métal
« La chèvre de métal » est plus déterminée, plus réaliste et perfectionnée que les autres chèvres, mais reste tout aussi sensible que ses autres congénères. Possessive, elle a besoin de son entourage pour se sentir bien. Si ses exigences affectives sont satisfaites, « la chèvre de métal » peut se montrer très perspicace, tenace et volontaire.
La chèvre de terre
« La chèvre de terre » est conservatrice, ayant plus de sens pratique que les autres chèvres. Plus réaliste, elle se laisse moins facilement berner que ses autres congénères. Aimant le confort et la sécurité, « la chèvre de terre » n’hésite pas à se créer un univers fort luxueux pour se sentir à l’aise. Mais elle saura plus facilement que les autres se priver si la situation l’exige vraiment. Par ailleurs, « la chèvre de terre » est plus volontiers généreuse et attentive aux autres.
La chèvre de bois
On ne pourrait, en regardant évoluer « la chèvre de bois », s’empêcher de penser que c’est une personne charmante, mais dépourvue de cervelle. Elle se montre particulièrement immature psychologiquement.
Il semble qu’elle ne puisse jamais dépasser le stade de l’adolescence où l’on agit selon le principe du plaisir, et ne sache pas se plier à une discipline ou se plier aux exigences de la réalité.
Elle parle beaucoup sans réfléchir, et exprime tout ce qui lui passe par la tête sans se demander s’il ne ferait pas mieux de se taire ; elle agit et réagit sous l’impulsion du moment, et fait ce qu’elle a envie de faire sans se soucier des conséquences. Ce laisser-aller et cette irresponsabilité le conduisent parfois à des situations embarrassantes, et même critiques. Mais il espère toujours pouvoir s’en tirer indemne grâce à son air innocent et à son charmant sourire. Il y arrive souvent, mais pas toujours. Un jour ou l’autre, son insouciance le confrontera à de graves difficultés.
Il est difficile de parler de devoir à cette « chèvre de bois », car elle a horreur de toute forme de contrainte. Si elle se dévoue à quelqu’un ou à une cause, c’est encore pour le plaisir plutôt que par choix délibéré. Elle se conduit comme si le seul fait d’exister était l’unique contribution que la société lui demande et qu’en revanche tout le monde lui devait égards et aide.
Les parents, qui ont mis au monde un enfant « chèvre de bois », doivent se garder de le gâter pour éviter de renforcer sa tendance naturelle à l’irresponsabilité et à la dépendance. Ce conseil est beaucoup plus difficile à suivre qu’il ne paraît, car l’enfant est charmant et sait recourir à la rouerie pour se faire dorloter.
« La chèvre de bois » est prodigue en temps ordinaire et devient follement dépensière en périodes de crise. On peut se demander comment elle arrive à alimenter son compte en banque. Mais elle ne se pose jamais cette question. La chance, pour des raisons inexplicables, fait souvent son apparition dans la vie de « ce bouc » et le sauve de la catastrophe financière.
La chèvre de feu
« La chèvre de feu » est le seul natif du signe dont la force est suffisante dès le départ pour lui permettre de se tenir sur ses propres jambes.
L’élément feu donne encore d’autres touches particulières au caractère du natif. C’est « une chèvre » plus active, plus dynamique que ses congénères. Devant les difficultés de la vie, elle ne se dérobe pas aussi promptement qu’elles. Parfois elle a le courage de tenir tête et de chercher à renverser les obstacles qui se dressent sur sa route.
Ayant peu de confiance en son propre jugement qui d’ailleurs est souvent subjectif, « la chèvre de feu » recherche la sécurité en s’accrochant à des préjugés plus ou moins discutables. Rien ne l’inquiète et ne le dérange plus qu’un événement qui l’oblige à remettre ses idées en question. On le voit parfois défendre, avec la rigidité et l’entêtement d’une mule, ses opinions arrêtées une fois pour toutes ou ses façons d’agir bien ancrées.
Ce qu’on peut vraiment reprocher à cette « chèvre de feu », c’est qu’elle est aussi envahissante et par conséquent insupportable. Curieuse, mais d’une curiosité plutôt malsaine, elle ne peut s’empêcher de mettre son nez dans les affaires des autres et y mêler son grain de sel.
L’imprévoyance est la règle plutôt que l’exception dans sa vie. Agissant au gré de sa fantaisie, « la chèvre de feu » saute avant de savoir où il mettra ses pieds. Toutes ses économies pourraient s’envoler en une seule journée s’il tombait sur une affaire alléchante, mais à laquelle il n’avait pas pensé. On a intérêt à ne jamais lui confier des responsabilités de trésorier ou de caissier, bien qu’il ne soit pas foncièrement malhonnête. En ménage, il vaudrait mieux que son conjoint tienne les cordons de la bourse afin d’éviter des surprises désagréables toujours possibles sur le plan financier.
D'autres articles à lire dans la « sous-catégorie » : Astrologie chinoise & signes chinois
Calculer son signe chinois Calculer son signe chinois en ligne. Découvrez votre signe chinois et son élément selon la réelle méthode de l'astrologie chinoise.
Signe chinois du chien Intègre, protecteur et loyal, lorsqu’il souhaite défendre son territoire ou son clan, le chien ne tolère aucune invasion, aucune perturbation.
Signe chinois du cochon Le signe chinois du cochon est jovial et semble abrupt, mais doté d’une grande générosité, il ne sait pas dire non et se laisse facilement avoir.
Signe chinois du coq Le signe chinois du coq est le plus ostentatoire de tous. Orgueilleux, trop sûr de lui et autoritaire, ses points forts sont la loyauté et la détermination.
Signe chinois du dragon Le signe chinois du dragon a une personnalité de fonceur. Impulsif, dynamique et parfois tyrannique il sait aussi être bienveillant.